Onaurait donc recours au RFID. L'idée serait d'implanter une puce RFID dans le ballon, et un lecteur sur chaque poteau de but de manière à savoir quand le ballon passe la ligne du but. Mes professeurs m'ont conseillé de faire un programme informatique pour répondre à celà (ceci rendre dans la matière Electronique). C'est à ce moment que j'ai besoin de votre aide carVous souhaitez créer un double exacte d'une carte RFID de type Mifare 1K ? Les cartes Mifare 1K sont généralement utilisées comme badges d'entrée dans des locaux. Elles fournissent 768 octets de stockage répartis sur 16 secteurs. Chaque secteur est composé de 3 blocs de 16 octets. Le bloc 0 contient l'identifiant unique de la carte. Celui-ci est protégé par défaut en écriture par les constructeurs des cartes. Cet identifiant stocké dans le bloc 0 par le constructeur de la carte est généralement utilisé comme identifiant principal des services qui utilisent ce type de carte. Seuls tous les autres blocs peuvent être lus et écrits par un lecteur / encodeur RFID à l'aide de LibNFC sous Linux par exemple. Sauf qu'en Chine, tout est permis ! Vous pouvez trouver des cartes RFID Mifare 1K avec le block 0 en lecture / écriture sur le site xfpga. C'est le seul fournisseur "officiel" que j'ai trouvé sur la toile ... Elles sont commercialisées au prix de 25$, il faut prévoir un coût d'envoi de 8$. A titre de comparaison, une carte Mifare 1K coûte moins d'un euro. Ces cartes permettent normalement de pouvoir faire un clone exacte d'une carte RFID existante, y compris le bloc 0. Si vous pensiez que les cartes RFID représentent une solution sécurisée d'accès à des locaux, je viens de vous faire changer d'avis ;- Update La suite de l'histoire dans cet article Ludovic Passionné par le Web, le développement, la photo, les drones, la domotique et les nouvelles technologies, Geeek est un blog 100% personnel. Venez découvrir les origines de ce blog.
- Grâce à une puce plus sensible et un design adapté, le suivi par RFID d'objets empilés gagne en fiabilité. Le marché de la RFID identification par radiofréquences s'appuie sur deux techniques la haute fréquence HF 13,56 MHz et l'ultrahaute fréquence UHF 868 MHz. La première identifie des objets à moins de 1 mètre avec une fiabilité proche de 100 % même si les produits étiquetés sont les uns sur les autres dans un bac. L'UHF, en revanche, porte à plusieurs mètres mais elle peine à distinguer des objets empilés et reste sensible aux déperditions de signal dues à la présence de métal, par exemple. Jusqu'à présent... La nouvelle gamme Trak UHF combine longue portée et précision de lecture. Nous obtenons ce résultat en employant une puce plus sensible de dernière génération, conçue par NXP ex-Philips Semiconductor, et en adoptant un design d'antenne à inductance plus élevée », explique David Derrien, le responsable marketing produits de Tagsys. La gamme Trak UHF comprend quatre étiquettes. La première, DocTrak convient au suivi de documents. Le taux de lecture testé atteint cinquante fichiers empilés », assure Tagsys. La seconde, RapidTrak, est adaptée à la lecture omnidirectionnelle d'articles stockés sur des étagères ou empilés sur un point de vente. La troisième, SureTrak, cible des applications logistiques à grands volumes et d'inventaire d'articles superposés de manière compacte. Enfin, la RxTrak lit des éléments peu volumineux, conditionnés sous forme de boîtes ou de bacs, comme dans les chaînes d'approvisionnement pharmaceutiques.
Uneexpérience personnelle. Lors de mes stages, je demande aux personnes présentes d’effectuer un test énergétique sur elles-mêmes afin de savoir si elles sont porteuses d’une (ou plusieurs) puces.Environ deux tiers Sous forme de tags, d’étiquettes, de stickers, de cartes ou de puces sous-cutanées, la technologie RFID s’est largement démocratisée dans un cadre domestique ou professionnel. Expérience utilisateur, optimisation de l’organisation en interne, traçabilité… Les domaines d’application ainsi que les avantages sont nombreux. Découvrez quels sont les principaux moyens de détection pour une utilisation optimale. La RFID une technologie aux multiples possibilités d’utilisation Comme sa dénomination complète l’indique, soit Radio Frequency Identification », la RFID utilise des fréquences radio pour communiquer, stocker et émettre plusieurs types d’informations. Elle constitue une solution pérenne d’identification et de suivi. On peut s’en servir pour des objets, des marchandises, ainsi que des matières organiques. De nombreuses possibilités d’application sont d’ores et déjà courantes. Parmi ses principaux usages, on retrouve Les transactions sans contact ; La sécurité et la restriction des accès dans un cadre donné ; La logistique stockage, inventaire, préparation des commandes… ; L’identification des animaux ; L’organisation événementielle et promotionnelle… On peut également l’utiliser pour mettre en place un système antivol efficace, ainsi que la lutte contre les contrefaçons. Le saviez-vous ? On retrouve des puces RFID dans les abonnements de transports en commun. Comprendre les moyens de détection de la RFID Source Timcod Détecter une puce RFID ou tout autre objet se servant de cette technologie peut se faire à partir d’appareils fixes ou mobiles. Ceux-ci sont conçus pour émettre et recevoir de basses, hautes ou très hautes fréquences. Tout dépend des procédés employés, des matériaux utilisés et de l’usage escompté. En règle générale, les plages observées vont de 135 kHz à 915 MHz. La distance de lecture exprimée en mètre et le taux de transfert sont deux autres critères qui permettent de reconnaître les systèmes et produits équipés. Disposer d’un matériel efficace et réactif pour détecter des puces RFID À l’instar d’un scanner pour code-barres, il existe une importante variété de machines et d’appareils à même de réaliser la détection et la communication de cette technologie. Les lecteurs fixes et amovibles peuvent s’employer dans différents contextes tels que la bureautique ou l’industrie. Les besoins de traçabilité concernent également le secteur de la santé en matière de gestion et d’approvisionnement des médicaments, notamment pour les hôpitaux. Pour des installations fixes à usage pérenne, il est possible de sécuriser un lieu ou un accès à l’aide de portiques qui prennent en compte des badges d’identification. La technologie RFID s’accorde aussi avec des terminaux, des tablettes, des produits consommables et même des imprimantes. 2020-09-29 Passonsmaintenant à l’extraction des données de la puce source à proprement parler. La création d’un dump de la puce dans un fichier s’effectue avec la commande suivante : mfoc -P 500 -O de l’UID de la puce cible. Afin de créer une copie parfaite, il convient de modifier l’UID de la puce cibleSciences et technos Innovation Devinette une palette de livraison contient 50 cartons d'emballage ; comment connaître leur contenu sans les ouvrir ou utiliser de rayons X ? C'est possible grâce aux étiquettes RFID et à leurs ondes radio ! Trop chères pour être utilisées massivement, leur coût peut être réduit si on les imprime sur les cartons d'emballage. Du stockage à la distribution de produits, toute la chaîne de production va gagner en efficacité et réduire son impact écologique ! Article publié en partenariat avec Vous en avez certainement déjà vu elles servent souvent d'antivol sur les emballages. Toutes simples, les étiquettes RFID n'ont que deux éléments un fil d'antenne métallique enroulé et une puce. Également appelées "tags", ces étiquettes sont lisibles par ondes radio Radio Frequency Identification Device, et cela à une distance allant de quelques centimètres à une dizaine de mètres. La puce n'a pas de batterie et ne peut pas émettre spontanément. Mais dès qu'elle passe dans le champ électromagnétique d'un lecteur, elle capte suffisamment d'énergie pour lui envoyer les informations qu'elle contient. L'antenne métallique représente presque 99 % de la surface d'une étiquette RFID classique. Une technologie récente, le , permet d'imprimer l'antenne sur du papier ou du carton d'emballage, avec une encre conductrice peu polluante. Cette méthode est plus écologique puisqu'il n'y a pas d'antenne métallique résiduelle quand le carton est recyclé ou détruit il ne reste que la minuscule puce à gérer. L'identification automatique des cartons et du détail de leur contenu devient possible - toute la chaîne logistique peut réduire ses coûts et son impact écologique puisque les opérations d'inventaire, d'orientation et de décompte des produits emballés sont accélérées. L'identification automatique des cartons devient possible - toute la chaîne logistique peut réduire ses coûts et son impact écologique. Le Decartag est issu du projet Decarte Développement de carton électronique, lequel bénéficie d'un financement FUI Fonds uniques interministériels accordé aux projets de recherche appliquée entre des pôles de compétitivité et des grandes entreprises, PME ou laboratoires de recherche. Decarte réunit de nombreux acteurs publics et privés, dont Inria, l' , le pôle de compétitivité Maud et les Cartonneries de Gondardennes. Il a été primé en décembre 2009 et a remporté un European RFID Award en mars 2012. Cette technologie d'impression RFID ne coûte qu'environ 5 centimes à l'unité soit près de la moitié du prix de la technologie classique. Elle est utilisable sur les livres ou magazines, et stocke plus d'informations que les tags habituels Code QR. Ce qui ouvre d'immenses perspectives aux utilisateurs de téléphones à lecteur NFC, chaque jour plus nombreux...Des lecteurs plus intelligentsLa limite de cette technologie intervient lorsque deux puces "parlent" en même temps le lecteur RFID ne comprend alors plus rien ! Et quand deux lecteurs interrogent la même puce, la réponse est inexploitable... "Je travaille sur des protocoles de communication anticollision, afin qu'une puce sache quand répondre et être la seule à le faire à un instant donné", explique Nathalie Mitton, responsable de l'équipe de recherche Fun à Inria Lille. "Notre équipe d'informaticiens est associée au projet Decarte et elle se focalise sur une question comment lire une puce RFID de façon efficace ?" Concrètement, l'équipe apporte ses réponses sous forme d'algorithmes, applicables avec des étiquettes RFID classiques ou imprimées. Ainsi, le lecteur peut obliger les puces à répondre séparément par exemple, en demandant à celle dont l'identifiant commence par XX de répondre. Ou encore, chaque étiquette tire aléatoirement un numéro et répond dans la plage de temps correspondante. "La gestion des collisions intervenant quand deux lecteurs lisent la même puce doit être améliorée. Nous explorons des solutions qui consistent à ordonnancer les lecteurs ou encore à jouer sur les puissances d'émission de chacun pour induire une différence détectable", poursuit Nathalie Mitton. Des collisions surviennent souvent quand on veut faire le scan global d'un entrepôt ou d'une cargaison entière. "Les utilisateurs perdent beaucoup de temps à chercher la meilleure disposition possible des lecteurs afin qu'ils couvrent beaucoup de volume sans générer de collisions. Nos recherches tendent à rendre les lecteurs plus intelligents, c'est-à-dire capables de bien fonctionner même si leur disposition n'a pas été choisie de façon optimale." De telles solutions seraient également bien adaptées à des lecteurs mobiles. Situations typiques un inventaire en rayon, ou la recherche d'un produit ayant certaines caractéristiques et devant être retiré de la vente. "Là aussi, pour des raisons d'optimisation des coûts, il est préférable d'avoir des lecteurs qui gèrent eux-mêmes la problématique plutôt que de mettre en oeuvre une connaissance globale de tous les lecteurs", conclut Nathalie Mitton. Comme les étiquettes RFID, les lecteurs s'engagent sur le chemin d'une intelligence augmentée !Suivre l'actualité du numérique sur Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement La RFID fait un carton
Articlemodifié et référence(s) ajouter le 15.10.2020 Introduction Selon Wikipédia VERICHIP ( entreprises qui produits des puces sous cutanés pour les humains). RFID POWDER Livre : Conception d’antennes de tags RFID UHF, application a la réalisation par jet de matière (silicium) "Antennes de silicium RFID" de Rodgers dans le brevet 11683056 Etude et conceptionSkip to content Comment fonctionne une puce RFID ? Protection antivol, traçabilité, contrôle des accès… Les domaines d’application sont variés pour bénéficier de la technologie RFID. Sa simplicité d’intégration et son efficacité assurent un déploiement dans de nombreux secteurs, qu’ils relèvent de la sphère privée ou d’une utilisation professionnelle. Découvrez comment fonctionne une puce RFID et quelles en sont les propriétés techniques. L’utilisation des fréquences radio comme dispositif de reconnaissance Sous la forme d’une puce, d’une étiquette ou d’un tag, la technologie RFID se sert des fréquences radio afin de gérer les flux d’informations et de communications. Exprimée en kHz, MHz ou GHz, l’intensité influe sur la portée d’émission entre le récepteur et l’émetteur. Le choix se détermine selon l’usage envisagé. À titre d’exemple, un badge de transport nécessite une haute fréquence de 13,56 MHz. Cela vaut aussi pour la traçabilité des produits, ainsi que pour le contrôle des accès. Quant à l’ultra haute fréquence, soit 865 à 868 MHz, elle convient pour les codes-barres EAN et les dispositifs de télécommande. Les principales spécificités techniques de la technologie RFID La RFID autorise la lecture simultanée de plusieurs systèmes ou dispositifs équipés. De plus, il n’est pas nécessaire que l’émetteur soit visible pour effectuer la communication. Afin d’éviter le piratage de données et toute interférence, le niveau de sécurité est également modulable selon le cadre du déploiement, comme une entreprise, un aéroport ou un centre commercial. La technologie est réputée inviolable. Dans un environnement professionnel, ce type de puces ou de tags constitue un excellent complément à d’autres systèmes, comme les lecteurs de codes-barres. Les différentes catégories RFID active, passive ou semi-passive La puce RFID se décline en différentes catégories, qui déterminent son emploi, ainsi que les possibilités d’interaction. On distingue notamment les systèmes à usage unique, en lecture seule. La reconnaissance nécessite de passer l’émetteur une carte de paiement sans contact, par exemple au niveau du lecteur. Il s’agit alors d’un système passif qui peut présenter une mémoire inaltérable ou réinscriptible. Ce dernier procédé permet de modifier et mettre à jour certaines informations. On parle de système semi-passif lorsque la puce est alimentée par une batterie ou une pile. À noter que la source d’énergie est régulière, mais pas constante. Si c’est le cas, il s’agit d’une puce active. Son autonomie couvre de plus longues distances. Il n’est donc pas nécessaire de passer par un serveur. En contrepartie, sa durée de vie est limitée. Une telle puce convient pour le suivi des personnes, la logistique et la traçabilité des véhicules. Images Pexels Navigation de l’article
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