Ô Régina est une drôle de chansons dont on ne connaît pas l'origine. Tu peux l'allonger ou la raccourcir comme tu veux. Ici, on te fait la version courte, mais une fois que t'as compris l'air, tu peux chanter tous les couplets. REFRAINOh! Régina! Oh! Régina!Viens-donc voir par icitte l’assortiment d’bébittes! 2X La première bête qu'on vit, ce fut un éléphant,Elle dit Regarde donc Joe, la trompe qu’il a devant!»Mais Joe lui répondit Ce n'est pas là une trompe,Mais bien un gros bouton qui lui pousse sur le front » REFRAIN La deuxième bête qu'on vit, ce fut un beau gros dit Regarde donc Joe, les barres qu'il a su' l'dos.»Mais Joe lui répondit Ce n'sont pas là des barres,Ce sont des élastiques qui tiennent la peau su'l'dos. » REFRAIN La troisième bête qu'on vit, c'était une grande girafe,Elle dit Regarde donc Joe ce poteau d’télégraphe »Mais Jos lui répondit Ce n'est pas un poteauMais bien un grand tuyau pour prendre l'air par en haut » REFRAIN Et la quatrième bête, c'était un beau chameau,Elle dit Regarde donc Joe ces bosses qu'il a su' l'dos! »Mais Jos lui répondit Ce ne sont pas des bosses,Mais bien des porte-manteaux, qui partent pour Chicago » REFRAIN La cinquième bête qu'on vit, ce fut un dit Regarde donc Joe, les pics qu'il a su' l'dos »Mais Joe lui répondit Ce n'sont pas là des pics, Mais une grosse brossepour laver les bécoooooosssssses» pause À propos de l’interprète de cette chanson De nature autodidacte, Simon Boudreau développe sa passion pour la musique à l’adolescence. C’est alors qu’il se met à jouer de la guitare et à écrire des chansons, loin de se douter que cette nouvelle passion qu’est l’écriture deviendra la pierre angulaire sur laquelle toute sa vie se construira. Production Association des camps du QuébecRéalisation Synop6
LaGuerre de 14-18, 1962. "Les chansons qui ont le plus fait scandale sont les chansons pacifistes", lance Michel Brillié. Outre la célèbre Mourir pour des idées, "d'accord mais de mort lente
Paroles de Véronique SANSON Musique de Véronique SANSON © PIANO BLANC SOCIETE DES EDITIONS MUSICALES - 1972 Paroles de la chanson Chanson sur ma drôle de vie par Véronique Sanson Tu m'as dit que j'étais faite Pour une drôle de vie J'ai des idées dans la tête Et je fais ce que j'ai envie Je t'emmène faire le tour De ma drôle de vie Je te verrai tous les jours Et si je te pose des questions Qu'est-ce que tu diras Et si je te réponds Qu'est-ce que tu diras Si on parle d'amour Qu'est-ce que tu diras Si je sais que tu mènes La vie que tu aimes Au fond de moi Me donne tous ses emblèmes Me touche quand même du bout de ses doigts Même si tu as des problèmes Tu sais que je t'aime Ça t'aidera Laisse les autres totems Tes drôles de poèmes Et viens avec moi On est parti tous les deux Pour une drôle de vie On est toujours amoureux Et on fait ce qu'on a envie Tu as sûrement fait le tour De ma drôle de vie Je te demanderai toujours Et si je te pose des questions Qu'est-ce que tu diras Et si je te réponds Qu'est-ce que tu diras Si on parle d'amour Qu'est-ce que tu diras Si je sais que tu mènes La vie que tu aimes Au fond de moi Me donne tous ses emblèmes Me touche quand même Du bout de ses doigts Même si tu as des problèmes Tu sais que je t'aime Ça t'aidera Laisse les autres totems Tes drôles de poèmes Et viens avec moi Et si je sais que tu mènes La vie que tu aimes Au fond de moi Me donne tous ses emblèmes Me touche quand même du bout de ses doigts Même si tu as des problèmes Tu sais que je t'aime Ça t'aidera Laisse les autres totems Tes drôles de poèmes Et viens avec moi Sélection des chansons du moment Les plus grands succès de Véronique Sanson
Jesuis assez d'accord ! Elle a un côté drôle dans son écriture et dans sa composition, c'est la vie d'un homme dépassé par le net, par le porno et l'amour virtuel. Dans le style triste mais joyeuse y'a aussi Les Magnifiques, malgré des paroles pessimistes sur l'Amour, Damien nous offre un rythme hyper entraînant :o . RedDragon — Il y a 9 ans. Je suis assez
Marre des chanteuses aux propos sombres et dépressifs ? De la drague conquérante aux odes masturbatoires, des invitations explicites aux déclarations érotiques, voici seize chansons qui célèbrent le sexe, la jouissance et le désir à la première personne et au féminin. Après tout un hiver à fredonner les noires mélopées de nos nouvelles chanteuses préférées, on tournait un peu en boucle sur la mort, la solitude et l’angoisse. Entre Fishbach Comment allez-vous ? Toujours aussi mal, je l’avoue », La Féline La vie t’abandonne » ou Clara Lucciani Dis-moi pourquoi je sombre dans des ombres », les filles de la nouvelle vague semblaient naviguer dans des eaux mystérieuses et glacées. Et puis, changement radical de registre avec ce titre de Juliette Armanet Je te sens venir en moi. Saluée pour son premier album, Petite Amie – certes lui aussi plutôt mélancolique –, la chanteuse se fait remarquer pour cette adaptation du tube I feel it coming, de The Weeknd. Les basses électro-dansantes laissent place à un piano léger et les paroles anglaises assez fades deviennent une déclaration explicite C’est peut-être un peu direct, mais voilà je voudrais faire l’amour, l’amour avec toi… Je te sens venir en moi », susurre Armanet dans cette interprétation très personnelle. Et au fond, féministe. Car si depuis des lustres la chanson française ne cesse de célébrer les relations amoureuses, les hommes y tiennent en général le beau rôle ils désirent, courtisent, séduisent, rejettent. Quand les femmes chantent l’amour, elles attendent plutôt le prince charmant, se réjouissent d’avoir été choisies, souffrent des infidélités de leurs amants, ou bien pleurent d’avoir été abandonnées… Il est beaucoup plus rare, en chanson comme dans les autres arts, qu’elles expriment leur désir et leur plaisir ainsi que les hommes sont encouragés à le faire explicitement, à la première personne, sans honte ni détours. En tant que sujets libres, et pas qu’objets passifs. Aujourd’hui, Juliette Armanet est donc en train de se distinguer elle s’inscrit dans la lignée de ces quelques artistes qui, de Juliette Gréco aux Rita Mitsouko, ont osé assumer une sexualité joyeuse. Le plus célèbre exemple de cette tradition ? Les Nuits d’une demoiselle, un bijou de poésie érotico-drolatique, qui fait scandale en 1963. Colette Renard y énumère avec délectation d’improbables synonymes du verbe baiser au féminin Je me fais laminer l’écrevisse, briquer le casse-noisettes, farcir la mottelette, picorer le bonbon… » En 2014, Jeanne Cherhal réinterprète cette chanson, façon sur scène, elle entonne qu’elle se fait bugger la machine, exporter le point com, démonter le bureau, appuyer la touche pomme, exploser le réseau ». Images évocatrices et fantaisistes qui provoquent l’hilarité de son public. La même année, dans Cheval de feu, Jeanne Cherhal toujours s’amuse à raconter une scène de sexe Viens par ici, viens fouiller le buisson joli, viens lustrer les galets polis, viens goûter la figue à la crème. » Transparent. Deux ans plus tard, c’est Olivia Ruiz qui construit un album entier autour des joies sexuelles A nos corps aimants, 2016. Plus potache, Anaïs et son Cheap Show avait connu le succès dès 2005 en flirtant avec la parodie Je frémis, je pétille comme un gin fizz, c’est fou comme tu me fais de l’effet… Bébé baise-moi ! Si j’étais une chatte, je ronronnerai, si j’étais une latte je craquerai, si j’étais une blatte… » rires du public. Depuis le tournant du siècle, on voit donc bien une tendance nette, à défaut d’être une déferlante les femmes chantent le plaisir, leur plaisir, et n’hésitent plus à l’écrire elles-mêmes. Auparavant, il faut bien reconnaître que c’était souvent ces messieurs qui prenaient la plume à leur place. Un certain Robert Nyel, par exemple. Auteur, plus ou moins oublié d’une chanson devenue classique Déshabillez-moi. Quand Juliette Gréco l’interprète, en 1967, aucune autre chanteuse n’en a voulu… Mais le texte amuse Gréco au plus haut point un petit manuel d’érotisme ! Dirigez bien vos gestes, ni trop lents, ni trop lestes, sur ma peau… Voilà , ça y est, je suis frémissante et offerte ; de votre main experte, allez-y. » Les radios hésiteront des mois avant de diffuser la chanson… qui deviendra pourtant l’un des grands tubes de l’été 1968. L’année suivante, ce sont les gémissements explicites de Jane Birkin qui leur donnent des sueurs froides en 1969, Je t’aime moi non plus est souvent diffusé en version muette ! Mais bien qu’elle partage la vedette avec l’auteur du texte, Serge Gainsbourg, l’interprétation de Jane Birkin est sans équivoque elle parle de pénétration sexuelle, et à la première personne Tu es la vague, moi l’île nue, tu vas et tu viens entre mes reins »… A noter dans ce dialogue-là , elle est la seule à dire je t’aime ». Et ainsi, peu à peu, la chanson française donne-t-elle à entendre des femmes sûres d’elles-mêmes, qui connaissent leur propre corps et ceux de leur amants. Franchement crue, presque pornographique, Catherine Ringer n’hésite à haleter et à hurler Accélère, accélère… décélère ! » dans un incroyable concert diffusé sur M6 en 1996. C'est une de ces choses que la vie propose, et qui vaut le coup. L'affaire est close, une fois qu'on ose, on y prend goût », feule t-elle sur les guitares funk de La Taille du bambou. En 2007, on se souvient encore de Caresse-moi, j’adore ça, moins pour l’interprétation d’Hélène Noguerra que pour le texte, signé certes d’un homme, mais pas n’importe lequel l’un des meilleurs auteurs de chansons du XXe siècle, Serge Rezvani Seul le présent nous lie, instant sans avenir, tant que nos corps se plaisent et nos cœurs se taisent ». Une chose est sûre qu’elles rient du sexe ou qu’elles verbalisent le plaisir qu’elles y trouvent, qu’elles signent leurs textes ou s’emparent de ceux qu’on leur propose, les chanteuses contribuent à l’émancipation des femmes. En changeant les représentations, les œuvres d’art, et les chansons populaires en particulier, aident à faire évoluer les normes sociales… et intimes. En cela, elles sont indispensables aux luttes féministes. Chanter fièrement J’aime faire l’amour, je couche le premier soir, je couche sans faire d’histoires » Vicky Banjo ; Mon lit est assez grand pour des milliers d’amants » Barbara, dans la chanson de La Fiancée du pirate de Nelly Kaplan, film ô combien lui aussi émancipé ; ou Je veux un mec ! » Adrienne Pauly n’a rien d’anecdotique. Surtout quand aujourd’hui encore le slut-shaming – le fait de dénigrer les femmes pour leur comportement sexuel – reste très répandu. Et quand on connaît bien son corps, après tout… besoin de personne pour se faire plaisir. Je m’aime, je m’aime, je m’aime », miaule ainsi l’excentrique chanteuse japonaise Megumi Satsu, sur des paroles de Roland Topor et des synthétiseurs typiques de l’année 1980 Moi je n’ai pas besoin de toi pour faire l’amour ; je peux le faire chaque fois sans ton secours… » Les chansons masturbatoires ne sont pas légion, mais elles sont là , pour qui sait tendre l’oreille. Dans Pleasure Ilo Veyou, 2011 Camille ne chante-t-elle pas que sans amoureux », elle est la reine de ces lieux » il lui suffit de deux doigts à peine » pour jouir à l’ancienne ». On ne saurait être plus clair. Même joie des Plaisirs solitaires chez Chloé Lacan qui mêle ses gémissements à ceux de son accordéon perdue dans ma chambrette, j'ai l'art et la manière de m'envoyer en l'air, sans l'appui de personne, sans dépendre de toi. » Enfin, dernier classique du genre l’inversion des rôles traditionnels. Dans certaines chansons, les hommes deviennent des proies sur lesquelles les femmes jettent leur dévolu en partant à leur conquête, sans complexe. Andy, dis-moi oui ! », répètent les Rita Mitsouko en 1986 sur un air entêtant, presque martial, qui sonne plus comme un ordre que comme une supplication. Plus récemment, c’est pour Charlie que les Brigitte se sont enflammées. Charlie, tanké comme un camion, beau comme une meuf », qu’elles poursuivent de leurs assiduités Embrasse moi chéri, au fond je rêve que tu m'dévores ». Mais Andy ou Charlie sont des hommes… comme la plupart des amants auxquels il est fait référence ici. Et quid des amours saphiques ? On pourra toujours chanter avec Piaf l’un des plus beaux hymnes à la passion sensuelle Je t’ai dans la peau, on patientera encore un peu pour entendre des textes charnels lesbiens. Pour l’heure, on en reste aux chansons romantiques ou allusives chez Maissiat, par exemple, ou Juliette, parfois plus politiques et corrosives Gay, marions nous, d’Anne Sylvestre. Pas d’ode vraiment explicite. Jusqu’à quand ? La chanson se faisant le reflet permanent de la société, et parfois même son aiguillon, on est prêt à parier que ces chansons-là ne vont pas tarder à arriver. érotisme sexualité libération de la femme féminisme droits des femmes chanson Les Rita Mitsouko Chanson française Adrienne Pauly Anne Sylvestre Camille Catherine Ringer Colette Renard Fishbach Jane Birkin Jeanne Cherhal Juliette Juliette Armanet Juliette Greco Maissiat Nelly Kaplan Olivia Ruiz Partager Contribuer Sur le même thème
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chanson sur ma drole de vie accords